Après conciliabule, nous avons pris la route du village d’Uzès pour découvrir le premier duché de France, ses ruelles médiévales et ses belles demeures aux façades mordorées, dixit le Guide Michelin. En fait, notre choix a surtout été guidé par le cri du cœur de l’Homme qui voulait visiter le Musée du bonbon situé à quelques enjambées de là.
Nous n’avons pas regretté notre excursion qui nous a permis encore une fois de goûter la beauté de la Provence. J’ai entre autres profité des boutiques d’Uzès pour me procurer un santon. Il le fallait. C’est leur pays, après tout. J’ai toutefois commis un impair lors de mon achat. Que je vous explique. Il existe un grand nombre de santons. J’ai donc demandé l’aide de la sœur Psy pour trouver celui qui correspondrait le mieux à mon séjour. Comme nous ne pouvions pas nous-mêmes soulever les santons pour regarder leur prix, nous devions faire appel à la vendeuse chaque fois que nous en pointions un. Finalement, la sœur Psy et moi tombons d’accord sur un santon faisant partie d’un groupe de paysans. Nous demandons à la vendeuse de nous indiquer le prix du paysan en question en
Finalement, le Musée des bonbons s’est révélé assez intéressant malgré tout. Le film relatant la fondation de la maison Haribo, grande productrice de bonbons de toutes sortes, était fort éducatif. J’ai aimé surtout voir les différentes étapes de fabrication. L’Homme, lui, a particulièrement apprécié le moment où nous devions mettre dans des machines le jeton qui nous avait été remis à l’entrée du Musée. Cela nous permettait d’obtenir quatre sacs de bonbons chacun. Si vous comptez ces douze sacs, ainsi que les trois autres qui nous ont été donnés lors du paiement de notre billet d’entrée, plus les quelques autres que nous pouvions prendre gratuitement, vous aurez compris le titre de ce blog!
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Notes félines : Est-ce que ce sera le dernier chat immortalisé par la caméra de la sœur Psy? Je ne saurais vous dire, mais je peux vous apprendre que celui-ci est Uzétien.
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